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A Madrid, Fritz surprend son monde Madrid n’est pas un tournoi sur terre battue comme les autres. Taylor Fritz, 13e mondial, n’est pas réputé pour son tennis sur terre battue. Pourtant, il va vivre une nouvelle demi-finale de Masters 1000, ici-même. Profitant des conditions de jeu plus rapides en Espagne (en raison de l’altitude), Fritz fait très mal (depuis le début du tournoi, Fritz c’est 89 coups gagnants, 29 fautes directes, 35 aces, plus de 80% de points gagnés sur premier service). Après trois premières victoires tranquilles (face à Darderi, Baez et Hurkacz), l’Américain a eu plus de mal à se défaire d’un Francisco Cerundolo sur courants alternatifs (6-1, 3-6, 6-3 en 1h47). Sans beaucoup innover, le joueur de 26 ans s’est reposé sur les bases de son tennis pour disposer d’un Cerundolo un peu moins convaincant qu’en huitième de finale (où l’Argentin avait maté Zverev). Après un premier set à sens unique (6-1), Fritz a su tenir le choc pour contrer un Argentin montant en puissance. Très efficace au service et ultra agressif sur ses premiers coups de raquette, l’Américain continue sa route. Sans faire de bruit, le serveur américain est à deux matchs du sacre. Pour une place en finale, il défiera Andrey Rublev, tombeur de Carlos Alcaraz.
Sabalenka martyrise Andreeva pour rejoindre Rybakina en demi-finale à Madrid La tenante du titre continue sa route à Madrid. Aryna Sabalenka, pas toujours convaincante ses dernières semaines, enchaîne bien en Espagne. Après trois matchs difficiles où elle a dû batailler longuement (trois victoires en 3 sets face à Linette, Montgomery et Collins), la Biélorusse s’est baladée ce mercredi. Opposée à une joueuse toujours dangereuse, Mira Andreeva, l’étoile montante du tennis mondial (17 ans, tombeuse de Vondrousova et Paolini), la numéro 2 mondial a renvoyé son adversaire à ses études (6-1, 6-4 en 1h18). Face à une benjamine peut-être encore un peu trop naïve, Sabalenka a fait part de sa puissance du fond du court pour faire exploser son adversaire. Sans concéder la moindre balle de break, c’est avec beaucoup de sérieux qu’elle continue son chemin. Ce jeudi, elle défiera, pour une place en finale, Elena Rybakina, tombeuse au finish de sa compatriote, Yulia Putintseva (4-6, 7-6, 7-5).
Battu par Rublev en quart de finale à Madrid, Alcaraz se confie : “J’aurais dû être plus fort mentalement” Contre toute attente, Carlos Alcaraz a chuté ce mercredi. Double tenant du titre, l’Espagnol ne fera pas de triplé du côté de la Caja Magica. Opposé à un Rublev des grands jours (27 coups gagnants, 13 fautes directes), l’Espagnol n’a pas trouvé la solution (4-6, 6-3, 6-2). En deux jours, ce sont donc Rafael Nadal puis Carlos Alcaraz qui ont pris la porte en Espagne. Interrogé sur cette défaite surprise, le joueur de 20 ans, pas au mieux physiquement, s’est avoué déçu : “Ça fait mal de perdre, d'avoir des occasions et de ne pas en profiter. Je suis un peu enrhumé. Je me suis réveillé avec des raideurs dans tout le corps. Je ne veux pas enlever du crédit au match de Rublev mais c'était un match difficile pour moi. J'étais un peu plus faible mentalement qu'à d'autres moments. J'ai été plus du genre à me plaindre. Quelqu'un comme Rublev vous laisse peu d'opportunités, et si vous les manquez, ça fait mal. J'aurais dû être plus fort mentalement.” (propos relayés par L’Equipe). Malgré la déception, ‘Carlito’ a tenu à rester positif vu les circonstances. De retour de blessure à Madrid, l’Espagnol a enchaîné quatre bons matchs et va mieux physiquement : "La semaine a été très positive. Un jour avant le début du tournoi, je ne savais pas si j'allais pouvoir jouer, et j'ai atteint les quarts de finale. Jouer plusieurs matches à un bon niveau, c'est positif aussi. [...] Aujourd'hui, j'ai ressenti plus de douleurs à l'avant-bras que lors du match d'hier (victoire en huitième face à Struff 6-3, 6-7, 7-6). Mais en ayant joué trois heures la veille, je savais que j'allais ressentir quelque chose, ou que j'allais y penser encore plus. À la fin du match, j'ai un peu plus slicé mon coup droit. Je vais devoir travailler dur ces prochains jours, afin d'arriver vers mes 100 %, ou au moins dans un bon état à Rome. Ce sera un processus lent, je suppose. Je dois être patient. Mais je pense que je serai en mesure d'aller à Rome.” Le numéro 3 mondial, qui pourrait perdre sa place sur le podium cette semaine, a également tenu à rendre hommage à Andrey Rublev, auteur d’un match plein : “Il a été très bon aujourd'hui et son service était incroyable. Je n'ai pas pu le pousser dans ses retranchements et il a souvent pu frapper la balle dans une bonne position. Et contre un joueur comme Rublev, s'il frappe la balle en bonne position, il est presque impossible de gagner des points.”
Après ses adieux à Madrid, Nadal rassure : “Je n’ai pas terminé mon voyage raquette en main” Battu par un excellent Jiri Lehecka mardi (7-5, 6-4), Rafael Nadal a fait ses adieux au tournoi de Madrid. Dominé par un joueur plein de fougue et de puissance, Rafa a livré une prestation de haut niveau. Il le reconnaît lui-même, son niveau de jeu augmente. Son intensité physique aussi. Après une cérémonie d’hommage particulièrement poignante, le roi de la terre battue est revenu sur ce beau moment d’histoire tout en rappelant que son histoire avec le tennis n’était pas encore terminée. Bien plus rassurant qu’en début de tournoi, l’homme aux 14 titres à Roland-Garros a ainsi déclaré “C'était émouvant, aujourd'hui, un jour inoubliable pour dire au revoir à Madrid. C'est l'un des endroits, voire probablement l'endroit où j'ai reçu le plus d'amour et de soutien. Mais ma carrière continue, et j'ai mes objectifs personnels pour les prochaines semaines, et je veux voir si j'ai une chance de les atteindre. [...] La semaine a été positive à tous points de vue. J'ai pu jouer quatre matches, quelques matches difficiles, et le corps, même si certains muscles sont fatigués maintenant et je l'ai senti durant le match, a bien tenu. Trois victoires, quatre matches à un haut niveau... J'ai pris beaucoup de plaisir à jouer chez moi. Je pars d'ici avec une énergie très positive à tous points de vue.” (propos relayés par L’Equipe). Interrogé sur l’émotion générée par ses adieux, le Majorquin s’est avoué honoré et fier : “C'est une grande satisfaction personnelle. Quand les gens s'enthousiasment, ce n'est pas seulement pour le sport. Je pense que j'ai fait des choses bien, pas seulement avec la raquette. En tout cas, c'est ce que j'ai essayé de faire. Nous commettons tous des erreurs, nous avons des moments meilleurs et pires, mais j'ai essayé d'être respectueux, amical et de servir les gens du mieux que je pouvais. J'ai également essayé de me comporter correctement sur le court, ce que je pense avoir réussi à faire la plupart du temps. [...] Il est normal que les gens pleurent. Même si je m'étais mal comporté, ils le feraient probablement, parce qu'ils m'aiment d'une manière différente de celle des gens qui m'entourent. C'est une très grande satisfaction personnelle au niveau de ce que je considère comme ayant une valeur dans la vie, car jouer au tennis n'a qu'une valeur sportive. J'espère que je n'ai pas été, au moins, un mauvais exemple à suivre pour ceux qui m'ont regardé à la télévision pendant toutes ces années.” Questionné sur son ressenti personnel, l’Espagnol confesse avoir retenu ses larmes mais explique surtout qu’il a fait pour une bonne raison, sa carrière n’est pas encore finie : “J'étais très ému. Je me suis retenu, je ne voulais pas faire une mer de larmes, même si je n'ai pas été loin de le faire. Parce que je n'ai pas terminé. J'ai terminé à Madrid, mais je n'ai pas terminé mon voyage raquette en main. C'était émouvant, mais ce n'est peut-être pas le moment de lâcher ce que j'ai en moi. J'ai encore un long chemin à parcourir et je ne veux pas encore laisser tomber toute cette adrénaline. Je pars avec beaucoup d'énergie, j'ai fait des pas en avant dans tous les domaines. Il faudra voir si je suis capable de consolider ces avancées. Visiblement très satisfait de ce qu’il a pu proposer, la légende espagnole semble bien plus positive qu’à son arrivée à Madrid : “Je suis arrivé ici avec des doutes sur tous les plans et je repars sans. La semaine a été incroyablement positive. Mon adversaire a joué à un très haut niveau et je suis resté compétitif. Le premier set a été le meilleur depuis que j'ai repris la compétition, du moins pour ce que je recherche en termes de jeu des jambes, de rotation de la balle... Je pense que c'est le jour où j'ai été le mieux positionné sur le court. Sur le plan musculaire, j'ai eu une petite baisse de régime à la fin du premier set, mais je suis totalement satisfait, bien mieux que ce à quoi je pouvais m'attendre. [...] Il y a trois semaines, je ne savais pas si j'allais rejouer un match officiel et j'ai pu faire mes adieux sur le court avec un niveau plus que décent. Sur le plan tennistique et émotionnel, cette ville a toujours été d'un soutien et d'une énergie qui m'ont aidé de manière décisive dans ma carrière. Ce que je retiens d'ici aujourd'hui est très beau, un souvenir indélébile et inoubliable. Je n'aurai jamais l'occasion de les remercier suffisamment pour ce qu'ils ont fait pour moi. Je ne sais pas si c'est la dernière fois que je joue en Espagne. Je n'y ai pas pensé, mais il est très probable que ce soit le cas. Si c'est la dernière fois, c'est un grand souvenir, une grande soirée.” Si le doute persiste sur sa participation à Roland-Garros, il est certain que le feuilleton Rafael Nadal n’est pas encore terminé. Prochain étape : le Masters 1000 de Rome (du 8 au 19 mai) où Rafa a déjà atteint la finale 12 fois pour 10 sacres (2005, 2006, 2007, 2009, 2010, 2012, 201
A Madrid, Swiatek assume son statut : “C’est un bon rôle car j’ai toujours voulu inspirer les autres” Iga Swiatek est irrésistible. A seulement 22 ans, la Polonaise est parfaitement ancrée au sommet de la hiérarchie mondiale. De retour sur sa meilleure surface, la triple vainqueure de Roland-Garros impressionne. Malgré un set perdu en quarts de finale, elle n’a pour l’instant pas été testée (16 jeux perdus en 4 matchs). Swiatek bluffe son monde, encore une fois. D’un niveau terrorisant, elle semble être un cran au-dessus du reste du circuit WTA. Interrogée sur son nouveau statut, la numéro 1 mondiale explique que tout a commencé à Roland-Garros en 2020 : “Tout s’est passé d’un coup, après Roland Garros 2020, mais j’avais l’impression qu’à cette époque les gens ne savaient toujours pas si je serais une joueuse de premier plan, si je continuerais à bien jouer. Et honnêtement, je ne le savais pas non plus. [...] Finalement ma constance m’a mis dans la position que je connais aujourd’hui, c’est un bon rôle car j’ai toujours voulu inspirer les autres. De plus, il est plus facile de trouver la motivation lorsque vous avez l’impression que les enfants vous regardent et vous prennent pour un exemple. En même temps, cela met aussi un peu de poids sur vos épaules, ce n’est pas facile à équilibrer, parce que tout le monde vous traite comme si vous deviez jouer pour eux, pas pour vous.”
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